Le principe architectural du projet consistait à abriter les services d’intervention des brigades de sécurité des prisons, l’équivalent du GIGN, afin qu’ils puissent se former, travailler, s’entrainer et se reposer.
Le bâtiment devait représenter la force, qui se dégage de ce type de brigade tout en répondant à des impératifs paradoxaux d’image d’ouverture sur l’extérieur et de protection aux différentes agressions, qu’il pourrait subir.